COMMENT AIDER VOTRE ENFANT A (RE) TROUVER LE GOUT DE BIEN APPRENDRE

COMMENT AIDER VOTRE ENFANT A (RE) TROUVER LE GOUT DE BIEN APPRENDRE

Comment aider votre enfant à (re) trouver le goût de bien apprendre

 

(et ça, même si il a des difficultés d’apprentissage, qu’il s’ennuie à

l’école ou qu’il ne pense qu’à jouer aux jeux vidéo…)

 grâce à la pédagogie Montessori et à son programme d’éducation

spécifique pour les enfants de 6 à 12 ans…

 même si vous pensez ne pas avoir les compétences nécessaires.

Si vous pensiez que la pédagogie Montessori était uniquement adaptée à la petite enfance, et qu’il fallait ensuite changer de méthodes d’apprentissage…

 Si vous vous dites que vous « n’avez pas » les compétences pour accompagner votre enfant ou vos élèves après 6 ans avec Montessori.

 Ou si vous croyez qu’il est difficile de commencer après 6 ans, si l'enfant n'a pas connu la pédagogie Montessori avant…
 … alors vous risquez de voir les choses complètement différemment après avoir lu cette page.

 Surtout si votre enfant ou vos élèves…

 … Ont du mal à comprendre les concepts, mémoriser, apprendre… parce que l’enseignement est trop abstrait.

 … S’ennuient, parce que le programme n’est pas adapté à leur niveau ou leur intérêt.

… Se démotivent, parce que l’organisation du travail n’est pas adaptée à leurs besoins.

 … N’’ont pas envie de travailler ou de faire leurs devoirs, parce qu’ils ne comprennent pas le

sens de tout ça.

 … Préfèrent s’amuser et jouer avec leurs copains, et ça crée des tensions.

 … Peuvent même devenir plus « difficiles » à vivre, voire impertinents.

 Vous pensez sans doute, comme beaucoup de personnes qui me suivent, que la pédagogie Montessori fonctionne très bien en maternelle.

 Parce qu’elle est 100% adaptée aux besoins d’un enfant de cet âge.

 Mais pour la suite, c’est beaucoup plus flou.

 Vous ne savez pas si le programme Montessori peut convenir à un enfant de plus de 6 ans.

 S’il peut couvrir tous les domaines d’apprentissages.

 Ou s’il est possible de commencer en école élémentaire, sans avoir pratiqué avant.

 Ces craintes et ces croyances sont normales :

 Tout ce qu’on peut lire sur Montessori (ou presque) se concentre sur ce qui se passe avant 6 ans.

 Pourtant, continuer ou commencer après 6 ans garde toute sa logique.

 Parce que le matériel est une continuité.

Pour l’enfant qui aurait vécu le 3-6 en Montessori, il retrouverait une partie du matériel en 6-12.

Pour lui l'avantage c'est que s'il n'a pas couvert tout le curriculum, il peut continuer son petit bonhomme de chemin sans être stressé par l'horloge qui lui dit qu'il va être en retard s'il n'a pas bouclé ses fractions avant son entrée en CP. 

Les fractions, il va les retrouver en élémentaire. 

Et s'il n'a pas été en maternelle Montessori.... il va donc pouvoir retrouver du matériel qui a été conçu pour manipuler et rendre concret des concepts abstraits. 

Genre, comme les fractions. 
Un des trucs les plus mal enseignés du monde alors que franchement, c'est bête comme chou. 

Il va retrouver une partie du matériel de maternelle, donc, mais il va aller beaucoup plus loin.

Ce qui fait qu'il se retrouve avec un matériel qu'il connaît (ou pas, mais avec lequel il a alors le temps de se familiariser)... et que l'on va utiliser comme support au développement de son raisonnement. 

Exemple: le célèbre cube du binôme qui était (en gros) un puzzle en trois dimensions en 3-6 et qui devient le support pour comprendre (a+b)³ ou extraire la racine cubique. 

(Et si vos yeux s'arrondissent en vous disant « mon dieu mais je ne sais pas faire ça », vous allez découvrir en dessous la démarche ultra simple et ludique que vous pouvez mettre en place pour être au taquet, et vous rendre compte que les compétences, ce n’est pas du tout le problème).

 Quoi qu’il en soit, le matériel reste progressif

Même si l'enfant perd en sensorialité après 6 ans (et surtout après 8 ans), on va quand même lui offrir tout une gamme d'outils pour cheminer vers l'abstraction. 

L'abstraction, c'est le moment où, justement, il n'aura plus besoin de matériel. 

Du coup, comme en 3-6 ans, on va proposer à l'enfant une série de matériels très concrets au départ et de plus en plus abstraits. 

Ce qui fait que même s'il n'a pas connu la pédagogie Montessori avant, il va quand même pouvoir manipuler, et donc apprendre. 


Du coup ?

 Vous comprenez maintenant pourquoi il est possible de continuer (ou commencer !) après 6 ans pour…

 … Nourrir l’intérêt et la motivation de vos enfants…

 … Les aider à dépasser leurs difficultés d’apprentissages ou de motivation

… Leur donner ou redonner le goût de travailler…

 … Faire en sorte qu’ils ne s’ennuient plus jamais à l’école…

 … Même s’ils n’ont pas connu la pédagogie Montessori avant leurs 6 ans.

 Et c’est parce que la pédagogie Montessori pour les 6-12 ans est moins répandue que pour les plus petits, que j’ai voulu créer une formation certifiante, 100% en ligne, qui va vous aider à accompagner les enfants dans leur vie et leurs apprentissages jusqu’à l’adolescence.

 Mais vous vous dites peut-être que tout ça, ce n’est pas pour vous…

 Que vous « n’avez pas » les compétences pour accompagner votre enfant ou vos élèves.

 (Oui, même si vous êtes enseignante)

 "Je ne sais pas si j'ai les compétences", voilà une phrase que j’entends souvent lorsque je parle du niveau élémentaire.

 Le niveau 3-6 semble plus intuitif.

 Plus évident.

 Grâce à la manipulation notamment.

 A l'aspect plus ludique que l'on s'imagine de l'école maternelle par rapport à l'élémentaire. 

Où les "choses sérieuses commencent". 
Du coup... 
Vous pouvez vous demander si vous avez les compétences.

 Parce que l'école c'est loin. 

 Et que bon, le théorème de Pythagore, la multiplication de fraction avec une autre fraction ou le codage d'une phrase... 

 ... ça ne se sort pas d'un chapeau comme un lapin. 

Du coup, clairement, l'éducation en élémentaire vous fait parfois un peu peur. 

 Ou vous laisse du moins avec beaucoup de questionnements.

 Ces questionnements sont d’autant plus importants pour vous que les écoles Montessori élémentaires, il n’y en a pas pléthore.

 Ou que vous n’avez pas la possibilité d’inscrire votre enfant dans une école Montessori, mais que pour autant, il a des difficultés et se démotive.

 Ou parce qu’il est instruit en famille et que l'instruction repose entièrement sur vous. 
(Avec les "conseils" des inspecteurs, voire la peur de la rescolarisation qui est bien légitime). 

 Ou que vous travaillez dans le public et que vous en avez marre de les voir galérer alors que des méthodes tellement plus simples et plus intuitives existent.

 Mais voilà, revient la question : est-ce que j’ai le niveau ?

 Il suffirait honnêtement de franchement pas grand-chose.

 Mais si vous reprenez les bouquins ? Là, oui, c’est compliqué.

 Ça vous rend la vie plus difficile parce que si le gamin galère, ce n’est pas en essayant de reproduire le truc à l’identique que vous allez l’aider.

Une bien meilleure approche ?

C’est de rendre ludique pour vous aussi le fait de vous y remettre.

 Grâce à la pédagogie Montessori, qui va vous permettre de

... réellement comprendre les notions (qui parfois auront été apprises sans être intégrées)... 

 ... vous sentir outillée ET vous amuser…
 ... et donc (re)prendre confiance en vous...

 Parce qu’au final, quand on a la bonne méthode, c’est un peu comme le vélo : on se remet en selle assez facilement.

 C’est plus la peur de ne pas y arriver et le côté rébarbatif du truc qui ne va pas nous motiver à nous lancer.

 Quand on s’éclate soi-même, c’est tellement plus simple.

 Vous pourriez penser que cela va vous prendre beaucoup de temps…

 La bonne nouvelle c’est que non :

En trois heures par semaine, vous pouvez facilement développer votre niveau de connaissances et de pédagogie nécessaires pour que l'enfant évolue, apprenne et s'épanouisse. 

Sans le stress des évaluations et de l'apprentissage par cœur. 

Parce que dans la formation Montessori 6-12 ans, je vous montre de A à Z :

 … Une méthode ludique pour réviser et récupérer tous les acquis à avoir en élémentaire (et bien plus ! car le cursus Montessori est plus respectueux de l’intelligence et des capacités des enfants, il va donc plus loin que le programme officiel)

 … Comment être réellement compétente pour accompagner l’enfant dans ses propres apprentissages parce que vous aurez enfin compris ce que vous avez juste appris par cœur durant votre propre scolarité.

(Quand on a juste appris par cœur, on ne sait pas répondre aux questions de l’enfant, qui du coup, lui aussi, doit se contenter d’apprendre par cœur sans réellement comprendre ce qu’il fait)

 … Les stratégies pour encourager l’enfant, l’aider à dépasser les moments plus difficiles et aménager des exercices pour que ça reste ludique et qu’il ait envie de continuer.

(En passant par le même chemin que lui, vous allez pouvoir ouvrir la voie qui va vous permettre d’être créative dans la manière de proposer les apprentissages)

 Tout ça, même si pour l’instant, le calcul de la racine carrée, les exposants, le théorème de Pythagore et la grammaire ne sont pas vos meilleurs amis ou des évidences.

 Par contre ?

 Avoir les compétences, c’est une chose.

Mais vous voulez aussi savoir les transmettre correctement.

Et ça aussi, avec les bonnes méthodes, ça n’a pas à être difficile.

 Ce n’est pas parce que vous maîtrisez un sujet que vous savez l’enseigner et le transmettre.

 Si l’école m’a bien appris un truc, c’est ça.

 Ne pas savoir transmettre, c’est même pire que de ne pas avoir les connaissances parfaites sur tout.

 Parce que quand on ne sait pas répondre à une question, on le dit à l’enfant, on cherche ensemble ou on prépare pour la prochaine fois.

 Faire des erreurs pédagogiques, par contre, ça peut être catastrophique pour la motivation et la confiance en soi de l’enfant.

 On a tous un souvenir comme ça, d’un prof qui lisait son cours ou qui nous embrouillait dans des explications ultra compliquées.

 Le résultat était toujours le même :

 On décrochait.

On s’énervait sur le cours à la maison.

On n’avait plus envie de bosser, découragés par la montagne qui nous semblait infranchissable, et on envoyait valdinguer nos cahiers.

 Ça ?

 C’est le souci quand, même si on maîtrise sa matière à la perfection, on n’a pas les outils pour la transmettre efficacement.

 Pour éviter ça à nos enfants après 6 ans, on va pouvoir conserver quelques bases de la pédagogie Montessori, comme :

Du matériel à disposition. 

 Une organisation lisible. 
 Du mobilier adapté.
 Une liberté d'action. 

 Rien que ça, c’est déjà pas mal.

 Mais comme ils ont grandi et que, par la force des choses, ils ont changé…

 … il va falloir aussi travailler sur les activités en tant que telles…

 … Qui elles, sont radicalement différentes de ce que l’on pouvait faire jusqu’à maintenant.

Transmettre efficacement une notion, maintenir l’attention de l’enfant et son intérêt, cela va demander de comprendre et d’appliquer un certain nombre de stratégies, que je vous explique et vous montre en détails dans la formation Montessori 6-12 ans, comme :
 

… Comment construire une activité en français, mathématiques et sciences qui va réellement motiver l’enfant à travailler parce qu’elle lui permet de se tromper, de tâtonner... et de découvrir un principe important: c'est la recherche qui compte, le travail réalisé, le chemin... et non le résultat. 

(Parce que ce que l’enfant veut, à cet âge, c’est se mettre l’enfant en position de recherche… pas en mode exécution bête et idiote, à se demander à quoi ça sert d’apprendre ce fameux théorème de Pythagore et à quoi ça va lui servir concrètement dans sa vie)

 … La technique simple de Maria Montessori pour permettre aux enfants d’apprendre sans leur demander de répéter à l’infini (ce qui ne leur plait plus, ne fait plus sens et les ennuie profondément.)

 … La méthode pour maintenir ou réveiller la motivation des enfants

(En favoriser la créativité, les combinaisons, les interprétations… en proposant des activités qui ne contiennent plus toutes les réponses et qui éloignent progressivement l’enfant du matériel…. ce qui est très simple quand on a la bonne méthode)

 … L’ultra-précision dont les enfants de cet âge ont besoin pour rester engagés dans leurs apprentissages.

(Et comme vous serez calée grâce aux révisions ludiques, vous allez pouvoir l’amener bien plus loin que ce que vous pensiez, et non seulement rattraper un éventuel retard ou juste vous contenter du programme… mais lui permettre de découvrir quelque chose de fondamental dans la vie : on apprend pour soi, pour son plaisir et son développement… par pour les autres ou pour une note)

 Mais la pédagogie Montessori, si elle est très efficace pour les enfants de 6 à 12 ans… n’est pour autant pas une baguette magique !

 Si on ne se concentre pas sur un point particulier, tous nos efforts pour nous mettre à niveau et apprendre à présenter le matériel du cycle élémentaire tomberont à l’eau.

 Si vous pensez qu'il devient insolent parce qu'il répond. 
 Si vous le trouvez distrait. 
 S'il perd en motivation pour les apprentissages. 
(Soit parce qu'il s'ennuie soit parce qu'il a des difficultés. Il n'apprend plus comme avant: juste pour le plaisir d'apprendre, vous avez l'impression que quelque chose est "cassé"). 
S'il ne cherche qu'à s'amuser avec ses copains. 

 S'il trouve tout injuste et se plaint régulièrement des inégalités qui le touchent. 
 S’il négocie tout le temps, jusqu'à nous user jusqu'à la corde. 

 

On peut se dire que ces méthodes « alternatives » ne fonctionnent pas.

 Et si je vous disais que tout ça… venait d’un grand malentendu ?

Vous l’aurez certainement remarqué : l’enfant grandit, change, évolue.

 Mais saviez-vous qu’en réalité, les grandes métamorphoses qu’il va vivre vont provoquer un bouleversement énorme dans son fonctionnement ?

 Il reste qui il est, et en même temps change complètement :

 Alors qu’avant il s’intéressait aux objets en eux-mêmes, maintenant il se pose la question de leur fonctionnement.

 En maternelle, il absorbait le monde par ses sens, maintenant il a besoin de le comprendre intellectuellement.

 Plus petit, il faisait pour faire et avait plaisir à répéter. Plus grand, il a besoin que ça aille vite, que ça soit efficace et que le résultat soit net.

 Alors qu’il avait besoin d’apprendre à faire seul, il veut maintenant penser et comprendre par lui-même.

 S’il pouvait avoir des copains/copines, maintenant c’est un aspect central de sa vie : il a besoin de travailler avec eux, avoir des projets avec eux, passer du temps avec eux… plus qu’avec nous.

 S’il a tant changé… il est donc logique de penser qu’il faut changer avec lui toute notre manière d’aborder les apprentissages… et la vie en général.

Pourtant, le principal problème de cette phase pourtant plus stable, est là: on continue d'appliquer des méthodes qui convenaient peut-être avant... Mais qui ne conviennent plus à présent. 

 Pourquoi ?

 Parce que la plupart des adultes ont du mal à décoder les comportements de l’enfant et les interprètent mal…

 Mais c'est totalement normal: on ne parle jamais de ces métamorphoses.
 

Si vous les compreniez, logiquement, vous voudriez adapter votre organisation, votre positionnement, votre façon de proposer les apprentissages, de construire des activités et d’interagir avec lui.

Bricoltime

 

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